Lorsque l’on s’investit autant dans un projet tel que celui-ci, une inquiétude grandit au fil des jours à mesure que nous nous approchons du départ. Cette inquiétude n’est pas liée directement au lot de questions organisationnelles avec le risque de l’oubli d’un point primordial qui viendrait déstabiliser le bon déroulement de ce voyage, les acteurs sont expérimentés et sauront réagir. Non, cette inquiétude grandissante est liée au risque d’indisponibilité potentielle du pilote ou de sa machine à quelques jours du départ.
Les causes peuvent être multiples, et on peut citer
la maladie du pilote ou un accident de la moto.
J’en veux pour preuve les petites histoires qui
arrivent aux membres du groupe et qui sont autant de frayeur
rétrospective.
A 15 jours du départ, Stéphane attrape un méchant
virus qui l’oblige à récupérer pendant une période de repos forcée, aujourd’hui
il va bien et il pourra partir.
Moi-même depuis quelques jours je dois être traité
suite à une infection. Un traitement antibiotique « de cheval » doit me
permettre de partir, mais il était temps.

Tout cela est sans doute des petits riens, mais
quelquefois il ne faut qu’un petit grain de sable dans la vie pour engendrer des
conséquences qui ont beaucoup d’importance à nos yeux.
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